g Cf. 10.13 ; 2 Co 1.18 ; 1 Th 5.24 ; 1 Th 3.3 ; 2 Tm 2.13 ; He 10.23 ; 11.11.
h Le mot de communion (koinônia) garde dans ses multiples emplois une acception fondamentale. La communion a sa source dans des réalités possédées en commun par plusieurs personnes, que ces réalités soient spirituelles ou matérielles. En fait, entre chrétiens, les biens matériels ne vont jamais sans les biens spirituels, Rm 15.26-27 ; 2 Co 8.4 ; 9.13 ; Ga 6.6 ; Ph 4.15-17. Parfois on a part à des actions ou à des sentiments, 2 Co 1.7 ; 6.14 ; 1 Tm 5.22 ; 2 Jn 11 ; Ap 1.9. La communion d’où dérivent toutes les autres donne part à des biens proprement divins, 9.23 ; Ph 1.5 ; Phm 6 ; elle nous unit au Père et à son Fils Jésus Christ, 1.9 ; 1 Jn 1.3, 7, au Christ lui-même. 10.16 ; Ph 3.10 ; 1 P 4.13, à l’Esprit, 2 Co 13.13 ; Ph 2.1. Elle nous donne part à la gloire à venir, 1 P 5.1. Le mot devient caractéristique de la communauté chrétienne, Ac 2.42.