32 La multitude des croyants n’avait qu’un cœur et qu’une âme. Nul ne disait sien ce qui lui appartenait, mais entre eux tout était commun.
s Sommaire analogue à celui de 2.42-47. Le thème est ici celui de la mise en commun des biens ; il introduit les deux exemples qui suivent Barnabé, Ananie et Saphire. L’insistance sur le dépouillement effectif des richesses caractérise la religion de Luc, cf. 12.33.
2 Mais les Juifs restés incrédules excitèrent les païens et les indisposèrent contre les frères.h
h Le refus de croire dégénère aussitôt en opposition violente, cf. 19.9 ; 28.24, et 9.23 ; 13.45, 50 ; 14.19 ; 17.5-8, 13 ; 18.6, 13.