25 Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l’Église : il s’est livré pour elle,
c Le baptême ne vaut que s’il est accompagné de la proclamation de la Parole, exprimée par l’évangélisation du ministre et la profession de foi du baptisé, 1.13 ; cf. Mc 16.15s ; Ac 2.38 ; Rm 6.4 ; 1 P 1.23.
d Selon les coutumes de l’ancien Orient, la fiancée était baignée et parée, puis les « fils de la noce » allaient la présenter à son fiancé. Dans le cas mystique de l’Église c’est le Christ qui a lavé sa fiancée de toute souillure par le bain du baptême (remarquer la mention expresse d’une formule baptismale) pour se la présenter à lui-même, cf. 2 Co 11.2.
e Add. (Vulg.) « tirés de sa chair et de ses os ».
31 Voici donc que l’homme quittera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront qu’une seule chair :
f Dans le texte de la Genèse, Paul découvre une préfiguration prophétique de l’union du Christ et de l’Église « mystère » resté longtemps caché et maintenant révélé, tout comme le « mystère » du salut des nations, cf. 1.9s ; 3.3s.