i « Jézabel »; var. « ta femme Jézabel ». — Pseudo-prophétesse de la secte des Nicolaïtes, au nom symbolique, cf. 2 R 9.22.
2 car ses jugements sont vrais et justes : il a jugé la Prostituée fameuse qui corrompait la terre par sa prostitution, et vengé sur elle le sang de ses serviteurs. »
5 Puis une voix partit du trône : « Louez notre Dieu, vous tous qui le servez, et vous qui le craignez, les petits et les grands. »
3 De malédiction, il n’y en aura plus ;r le trône de Dieu et de l’Agneau sera dressé dans la ville, et les serviteurs de Dieu l’adoreront ;
r Les vv. 3-5 (« texte II ») doivent être insérés après 21.4. Cf. l’Introduction.
6 Puis il me dit :t « Ces paroles sont certaines et vraies ; le Seigneur Dieu, qui inspire les prophètes, a envoyé son Ange pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt.
t Toute la suite fait figure d’épilogue. C’est une sorte d’entretien entre l’Ange (ou Jésus) et le Voyant, commentant les visions consignées dans le livre et l’usage qu’il en faut faire. La plupart des expressions se trouvent déjà disséminées dans le livre. La fin, vv. 16-20, est nettement attribuée à Jésus.