h La manne (cachée par Jérémie avec l’arche, 2 M 2.4-8 ; cf. He 9.4) est la nourriture du Royaume céleste, Jn 6.31, 49 ; cf. 15.8. Le caillou blanc (couleur de victoire et de joie) est le signe de l’admission dans ce royaume ; le nom nouveau, 3.12 ; 19.12, le renouvellement intérieur qui en rend digne, cf. Isa 1.26.
14 Puis voici que l’Agneaul apparut à mes yeux ; il se tenait sur le mont Sion, avec cent quarante-quatre milliers de gens portant inscrits sur le front leur nom et le nom de son Père.
k Aux sectateurs de la Bête, marqués du chiffre de son nom, 13.16-17, Jean oppose les fidèles de l’Agneau, 5.6, marqués de son nom et du nom de son Père, 7.4 ; 12.17. C’est le « reste », 11.1, fidèle à travers les persécutions, autour duquel sera restauré le Royaume après la victoire. Le mont Sion est le trône de Dieu, cf. 21.1.
l Var. « un Agneau ».
g Car il est le Roi des rois, v. 16 ; cf. 5.3, 13.
h Allusion (voir v. 15) à Isa 63.1. Symbole de la victoire sanglante qu’il va remporter sur les ennemis de son Peuple, cf. 5.5.
i Les noms du Cavalier victorieux, vv. 12, 13, 16, expriment, sous différents aspects, qui il est. Au nom divin transcendant, v. 12, s’ajoute ici celui de Parole, qui le désigne comme révélation efficace de Dieu, cf. Jn 1.1, 14 ; et plus précisément comme exécuteur de ses jugements, 20.11-12 ; 22.12, cf. Sg 18.14-18.